dimanche 30 mai 2010
SHL
Voici mes 8 nouvelles Serviettes Hygiéniques Lavables. Mon stock était bien trop petit, mais il m'a quand même fallu 3 mois pour m'y mettre ;-).
Modèle: bidouille de plusieurs patrons du web. Les ailettes sont cousues par dessous, je trouve que ça tient mieux et ça évite à la serviette de "rouler" sur elle-même.
Fournitures: chutes de PUL pour les 3 avec PUL, chutes de flanelle, velours,... + 1 couche de micro-éponge de coton bio (Frottee chez Natur Pur) .
Fil de surjeteuse coloré (Stoffenspektakel).
Pressions résine (Arbrinic et Couche Nature).
Difficulté: relativement facile. La principale difficulté réside dans la couture de tissu élastique: ça ondule, parfois ça tiraille d'un côté, puis d'un autre.
Durée: 3h pour les 8, en regardant la tv ;-).
Et pour le plaisir des yeux, les jolies coutures de ma surjeteuse chérie! Au départ, je voulais faire des coutures de toutes les couleurs (j'ai acheté presque 20 cônes au Stoffenspektakel), mais j'ai eu la flemme de changer les fils ;-). Du vert pour la couture et du rose ou de l'orange pour le surfilage.
samedi 29 mai 2010
Jupe pour ma princesse
Ma princesse Troizan voulait une robe de princesse. Ma collègue, maligne, m'avait glissé à l'oreille qu'elle ne cousait jamais de robe de princesse pour sa fille, uniquement des jupes, parce que sa fille les mettait bien plus longtemps. En plus, c'est plus facile à coudre.
Sur la photo, on dirait qu'elle est n'est pas très droite, mais c'est la photo. En vrai, c'est raisonnable :-).
Modèle: rectangle de 1m50 * hauteur des jambes de la puce + 6 cm pour la ceinture dans le satin uniquement.
Tissu: satin et tulle avec paillettes du marché (2€ du mètre).
Difficulté: marche à suivre très très facile, mais très très pénible de coudre le satin qui glisse qui glisse et qui glisse.
Durée: 3/4 d'heure, avec la troizan qui regarde. Probablement 1/2h en son absence :-).
Tuto:
- coudre un tube avec le satin, idem avec le tule
- fixer le tule sur le satin
- replier une ceinture dans le satin, en laissant une ouverture pour l'élastique.
- passer l'élastique dans la ceinture
- piquer l'ouverture
- faire un ourlet dans le satin (le tule a la bonne idée de ne pas s'effilocher!)
J'en ai profité pour tester un pied livré avec ma machine de compet':
... et voilà le résultat! Pfiou, absolument pas indispensable ce pied, mais qu'est-ce qu'il facilite la vie!
vendredi 28 mai 2010
Vermi Vermi Vermicompost!
Hier soir, je suis allée à une formation en vermicompostage. On a eu droit à une belle présentation qui nous a bien expliqué comment il fallait faire pour pouvoir composter ses déchets, même sans jardin.
Après la présentation, je me suis vraiment dit que ça n’était pas pour moi. Ca avait l’air tellement compliqué! Faire attention à la température, l’humidité, l’acidité,… Allais-je y arriver? Et ces petits vers, s’ils sortent trop souvent, je sens que ça ne va pas m’amuser longtemps. Dans mes calculs, j’ai même prévu l’achat de gants en caoutchouc pour les ramasser ;-).
Après la théorie, le formateur a construit une vermicompostière devant nos yeux, là, comme ça, paf, en 10 minutes. Et voilà que j’avais déjà plus envie de m’y mettre.
Finalement, on a pu aller voir des vermicompostières en fonction et là, d'un coup, je me sentais prête à commencer! C’est beau comme tout de voir ces petits vers grouiller dans le compost (dedans, hein, dehors, iiiiik). Et la propriétaire de la vermicompostière avait l’air tellement attachée à ses petites bêtes que je m’y voyais déjà, avec le même sourire qu’elle, à remuer mes petits vers avec ma petite truelle ;-).
Y’a plus qu’à, comme on dit.
Première étape: construire une vermicompostière. Je suis donc à la recherche des bacs en plastique parfaits, au niveau de la taille comme au niveau du plastique (qui doit être opaque et pas être trop cassant). Plus compliqué qu’il n’y paraît, en fait. Je sens que je vais devoir faire quelques magasins avant de trouver ce que je veux.
Deuxième étape: aller chercher des vers, soit chez quelqu’un que je connais bien qui a un compost au fond de son jardin, soit chez un «maître composteur». On peut aussi en acheter, mais il faut compter 50€, alors je commence par les gratuits.
Troisième étape: mettre les petites bêtes dans leur nouvelle maison, attendre une semaine, puis leur faire manger nos épluchures pour réduire la taille de nos poubelles! Après il faudra encore quelques mois pour arriver au rendement optimal.
Merci à Bruxelles Environnement pour la formation, c’était ce qu’il me fallait!
Et si ça ne marche pas, j’irai au compost collectif du quartier ;-).
Liens:
Bruxelles Environnement: www.bruxellesenvironnement.be
Et plus particulièrement: http://documentation.bruxellesenvironnement.be/documents/Compost_2009_fr.PDF
PS: non non, je ne délaisse pas la coutûre pour les petits vers, j'ai 5 ou 6 posts en attente de publication. Aaaah si mes journées faisaient 36 heures... Un jour j'arriverai à mettre les photos, si si, un jour, c'est promis :-).
Après la présentation, je me suis vraiment dit que ça n’était pas pour moi. Ca avait l’air tellement compliqué! Faire attention à la température, l’humidité, l’acidité,… Allais-je y arriver? Et ces petits vers, s’ils sortent trop souvent, je sens que ça ne va pas m’amuser longtemps. Dans mes calculs, j’ai même prévu l’achat de gants en caoutchouc pour les ramasser ;-).
Après la théorie, le formateur a construit une vermicompostière devant nos yeux, là, comme ça, paf, en 10 minutes. Et voilà que j’avais déjà plus envie de m’y mettre.
Finalement, on a pu aller voir des vermicompostières en fonction et là, d'un coup, je me sentais prête à commencer! C’est beau comme tout de voir ces petits vers grouiller dans le compost (dedans, hein, dehors, iiiiik). Et la propriétaire de la vermicompostière avait l’air tellement attachée à ses petites bêtes que je m’y voyais déjà, avec le même sourire qu’elle, à remuer mes petits vers avec ma petite truelle ;-).
Y’a plus qu’à, comme on dit.
Première étape: construire une vermicompostière. Je suis donc à la recherche des bacs en plastique parfaits, au niveau de la taille comme au niveau du plastique (qui doit être opaque et pas être trop cassant). Plus compliqué qu’il n’y paraît, en fait. Je sens que je vais devoir faire quelques magasins avant de trouver ce que je veux.
Deuxième étape: aller chercher des vers, soit chez quelqu’un que je connais bien qui a un compost au fond de son jardin, soit chez un «maître composteur». On peut aussi en acheter, mais il faut compter 50€, alors je commence par les gratuits.
Troisième étape: mettre les petites bêtes dans leur nouvelle maison, attendre une semaine, puis leur faire manger nos épluchures pour réduire la taille de nos poubelles! Après il faudra encore quelques mois pour arriver au rendement optimal.
Merci à Bruxelles Environnement pour la formation, c’était ce qu’il me fallait!
Et si ça ne marche pas, j’irai au compost collectif du quartier ;-).
Liens:
Bruxelles Environnement: www.bruxellesenvironnement.be
Et plus particulièrement: http://documentation.bruxellesenvironnement.be/documents/Compost_2009_fr.PDF
PS: non non, je ne délaisse pas la coutûre pour les petits vers, j'ai 5 ou 6 posts en attente de publication. Aaaah si mes journées faisaient 36 heures... Un jour j'arriverai à mettre les photos, si si, un jour, c'est promis :-).
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