vendredi 29 juin 2007

Utrogestan, de bons ( ?) souvenirs…

Une femme enceinte que je connais dois prendre de l’Utrogestan. Je me souviens que l’année dernière, plus ou moins à la même époque, où je commençais moi-même une cure de ce médicament anti-contractions.
Les circonstances de la prise de ce médicament n’étaient pas très réjouissantes, étant donné que cela suivait notre formidable incendie (nous habitions depuis 3 semaines dans notre appartement tout neuf ;-( ).

Je me souviens avoir passé des heures à regarder sur Internet si les effets secondaires que je ressentais étaient normaux. Je me sentais super fatiguée, au point de ne plus pouvoir conduire la voiture, alors que je dormais 14 à 16 heures par jour. Je me sentais nauséeuse aussi bien que je ne l’avais pas été au début de ma grossesse. Sur la notice, il était indiqué qu’il y avait des risques de «somnolences».

J’ai finalement trouvé un forum où certaines femmes confirmaient cette fatigue assez inhabituelle et non de somnolence. J’ai aussi remarqué que la plupart des femmes prenaient 2 comprimés par jour alors que je devais en prendre 6… Peut-être que ma fatigue n’était que de la somnolence * 3 ;-).

Enfin, malgré cette fatigue intense, j’ai finalement trouvé cette période très bénéfique, dans le sens où j’étais obligée d’aller dormir (sinon je m’endormais sur place !). J’ai donc passé beaucoup de temps au lit, à l’écoute de mon corps et de ce petit être qui grandissait en moi ;-). Obligée de m’arrêter de courir pour faire mille choses à la fois, obligée de ne rien faire, de prendre le temps de faire le peu de choses que je faisais… finalement ça n’a pas été aussi difficile que je l’aurais cru !

Au placard!

Nous voici à la veille de notre départ en vacances. J’ai donc sorti les langes jetables de l’armoire où ils étaient enfouis pour les mettre dans la valise. Eeekkk, je trouve qu’ils puent le plastique ! Bon allez, je ne vais pas me plaindre, parce qu’une semaine de langes lavables sans machine, c’est vraiment trop compliqué ;-).

Vivement qu’on rentre ! ;-)

mardi 26 juin 2007

Mes lectures de grossesse

Ce post est dédié à mon amie G. qui est tombée naturellement enceinte il n'y a pas si longtemps...

Trois fées pour un plaidoyer. L’éloge d’une naissance amoureuse et consciente


Auteurs : Dolmen Brigitte, Gere Corinne et Mispelaere Christiane.
Editions : Amyris.
Plus d’info : ici
Où l’acheter : Maman-Nature, Filigrane

Résumé grossier


Le livre est divisé en 3 parties :




  • Le désir d’enfant

  • La grossesse

  • L’accouchement


Il s’agit d’une sorte de dialogue entre les trois 3 auteurs. Beaucoup d’anecdotes, ce qui rend le livre très léger à lire.

Très chouette parce que…
Enfin un livre qui parle du côté affectif de la grossesse. Dans ce livre, vous ne trouverez rien sur la taille du bébé à telle ou telle semaine, sur les aliments que vous pouvez ou non manger.
Très agréable à lire

Moins chouette parce que…
Parfois, il y a un peu trop l’accent sur l’effet négatif de la péridurale. C’est à la limite de la culpabilisation alors que parfois la péridurale sauve la situation et permet d’éviter une césarienne (je sais de quoi je parle).
Même chose par rapport à la naissance en hôpital. Tous les hôpitaux ne sont pas des usines à bébés où tout doit se passer le plus rapidement possible. Il y en a aussi où le personnel est attentif et où on respecte les choix de naissance et où on sait ce que ça veut dire « accouchement physiologique ».




Le Guide Marabout de la Future Maman




Auteur : Delahaye M-C
Editions : Marabout
Plus d’info : ici

Où l’acheter : dans toutes les librairies type F*nac, F*iligranes, …

Résumé grossier
Evolution de la grossesse, pour la maman et le bébé, semaine par semaine.

Très chouette parce que…
Permet de suivre ce qui se passe dans notre ventre, à l’abri des regards. J’ai surtout apprécié pouvoir m’y plonger en début de grossesse, quand c’était encore un « secret » pour les autres. Ca m’a permis de me sentir enceinte même si ça ne se voyait pas encore.

Moins chouette parce que…
Le compte se fait en semaines de grossesse, alors que partout ailleurs, on compte en semaines aménorrhées. Il faut donc toujours faire un petit « calcul ».
Les courbes de taille et de poids du bébé ne correspondent pas à celles de mon gynéco.


Grossesse, le guide des copines

Auteur : Lovine Vicki
Editions : J’ai Lu
Plus d’info : ici
Où l’acheter : dans toutes les librairies type F*nac, F*iligranes, …

Résumé grossier
Une Américaine raconte son vécu de la grossesse avec beaucoup d’humour.

Très chouette parce que…
Permet de prendre de la distance et de rire des petits maux de la grossesse au lieu d’en pleurer !

Moins chouette parce que…
Manque parfois de réalisme au point de faire penser aux séries américaines.


Se préparer à la naissance

Auteur : Chenelot Francine
Edition : Hachette
Plus d’info : ici
Où l’acheter : Je l’ai acheté chez Filigranes.

Résumé grossier
Description rapide des différentes étapes de la grossesse, puis détaillée de l’accouchement. Il y a ensuite des exercices décrits de manière très concrète pour se sentir bien pendant la grossesse, puis pendant le travail.
Le livre est accompagné d’un CD qui permet de faire les séances de sophrologie, qui ne marche malheureusement pas chez moi.

Très chouette parce que…
Exercices très concrets. L’approche n’est pas uniquement « mécanique », mais inclut aussi quelques éléments affectifs.

Moins chouette parce que…
Les exercices dans les livres, c’est toujours la même chose : on se dit tous les jours qu’on s’y met demain ;-).

jeudi 21 juin 2007

Une culotte à pression, une !

Ca y est, j'ai reçu ma presse à pressions. C'est super facile à utiliser... à partir du moment où on est un peu logique ;-). Je dois avouer que j'ai commencé par me tromper de sens (du genre que je n'allais jamais savoir fermer la culotte!), mais voici quand même une culotte de protection terminée. Admirez les jolies pressions mauves ainsi que mon magnifique "logo"!

Elle est trop grande pour ma pitchoune mais je lui ai quand même mise ce matin, tellement j'étais fière!















lundi 18 juin 2007

Les trucs qui aident...

Pour les mamelons endoloris au début

La goutte de lait
Après avoir allaité, rien de tel que d’étendre une goutte de lait sur le mamelon. Le lait maternel a des propriétés antiseptiques et est bien gras. Cela permet donc de désinfecter les éventuelles micro-plaies et le mamelon est hydraté, grâce à la graisse du lait.

Les crèmes
Le conseil le plus répandu, à part la goutte de lait, est d'utiliser de la Lanoline, de la graisse de laine, parce que c'est le plus naturel.

Personnellement, j'ai utilisé la crème Bioform des laboratoires Vogel. C'est une crème à l'arnica très facile à appliquer et qui m'a vraiment soulagée. Il en existe bien d'autres, notamment chez Weleda.

Pour ce genre de crèmes, je préfère rester dans les labos bio, parce que malgré le fait d'essuyer le mamelon avant de donner à manger, il y aura toujours des particules de crème qui seront ingurgitées par notre petit ange.


Pour "produire" plus

La Tisane
Pour favoriser la lactation malgré la fatigue des nuits interrompues, je bois de la tisane. Je suppose qu’on peut en trouver à plusieurs endroits, mais voici celle que je prends.

Je la trouve chez D*esmecht, Place Sainte-Catherine 10 à 1000 Bruxelles. Ca s’appelle : « Favorise la Lactation / Bevordert de Borstvoeding ». Pour ceux qui veulent se la faire eux-mêmes, je vous mets les ingrédients : Urtica dioica L., Foeniculum vulgare L., Cuminium cyminum L., Lminum album L. Humulus lupulus L. .

L’odeur du mélange est un peu bizarre. Ma collègue trouve que le goût n’est pas terrible alors elle rajoute un peu de camomille. Personnellement, je ne trouve pas ça si mauvais, même si la camomille améliore quand même le goût.

La tisane coûte 7.80 € pour 240 g. En buvant environ 6 tasses par jour, mon paquet aura tenu un mois et demi. J’utilise le mélange chaque fois 2 fois.

Le G*alactogil
Il s’agit de granules blanches à dissoudre dans l’eau. Il faut les prendre avant les repas, maximum 3 fois par jour.

Ca coûte 7,5 € pour une boite. Je ne sais pas encore combien de temps on tient avec une boite, mais ça ne doit pas être très longtemps.

Personnellement, je trouve le goût vraiment infâme.


Les huiles essentielles
Je n’ai pas testé. Je dois avouer mon ignorance quant à leur utilisation pour autre chose que pour faire tremper les couches lavables ;-).

mardi 12 juin 2007

Allaiter, ça fait mal?

Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis mise à repenser à la dernière rencontre allaitement où plusieurs mamans se posaient des questions sur la douleur que l’allaitement provoquait. L'une avait déjà allaité et se souvenait qu'elle avait eu assez mal au début et se demandait s'il y avait des "trucs" pour ne pas avoir mal.

Soyons clairs, "oui", ça fait souvent mal au début quand on allaite et "non", il n’y a aucun "truc" qui supprime la douleur. Il y a bien sûr des crèmes qui aident à diminuer le risque de crevasses et qui calment les sensations de brûlures et il n'y a pas de raison de s'en priver. Personnellement, j'utilisais Bioform des laboratoires Vogel et j'en étais très contente. Elle est plus facile à appliquer que la Lanoline qu'on vous donne à la maternité! Bioform est une crème bio, qui apaise les peaux rêches et sèches. C’est précisément l’état dans lequel se trouvait mon mamelon au bout de quelques jours d’allaitement ! Cela dit, il y a beaucoup de crèmes qui peuvent aider, il ne faut pas s’arrêter à une marque.

Je sais que chaque allaitement est différent, mais avoir des témoignages d’autres mamans m’a toujours aidée. Voici le mien. J'ai eu mal pendant les premières minutes à chaque tétée certainement pendant 3 semaines. La douleur se caractérisait par une brûlure, parfois intense au niveau du mamelon. Ca fait un peu maso de dire ça. Où est le plaisir dont tout le monde parle, alors? J'ai envie répondre quelque chose que je n'aurais pas apprécié d'entendre lors de mes premières semaines d'allaitement: le plus grand plaisir, je l'ai depuis que Zoé a 3 mois, le soir, quand je rentre du travail et que la tétée coïncide avec les retrouvailles. Au début, j'aurais surtout voulu entendre que c'était génial dès le début. Chaque jour, je me disais que déjà le lendemain, tout serait plus facile. Et le lendemain, ça ne l’était pas forcément. Vous trouvez cela décourageant à entendre ? Je pense que le contraire est bien pire. Les mamans à qui on a dit que du bien de l'allaitement sont tellement déçues quand ça leur fait mal et que ce n'est pas si facile que prévu !

Attention, je ne dis pas non plus que c'est un calvaire au début. C'est un moment unique de complicité et parfois de bonheur intense, mais parfois ça fait plus mal que plaisir. Et une fois les 3 premières passées, c'était quand même déjà beaucoup mieux.

Mon conseil: attendre 3-4 semaines d'allaitement avant de prendre la décision d'arrêter. Ce n'est pas sur ces premières semaines qu'on peut juger. Surtout que pour vous aider, alors que vous êtes une jeune maman pas encore sûre d’elle, il y aura toujours une bonne âme pour vous demander si « vous êtes sûre d’avoir assez de lait », si « votre lait est assez riche » ou encore pour vous dire que vous donner beaucoup trop souvent/pas assez souvent le sein et autres âneries.

Pour votre confiance en vous, je vous conseille de lire le livre de Marie Thirion sur l’allaitement avant d’accoucher. Ca ne permet pas forcément de clouer le bec à tous ces oiseaux de mauvaise augure, mais ça vous permet de vous sentir plus sûre du bien fondé de ce que vous faites. Ce livre a vraiment boosté mon « égo de maman ». Après l’avoir lu, j’étais bien plus confiante en mes capacités et je ne les remettais pas en questions à chaque fois qu’on me faisait ce genre de remarques stupides. Entre-nous, ces remarques stupides auraient fini par me donner envie d’arrêter l’allaitement. La douleur non.

J'ai encore envie d'ajouter quelque chose que vous aurez entendu 100 fois à propos de l'accouchement: on oublie la douleur. Personnellement, la douleur de l'allaitement a été oubliée bien plus rapidement que celle de l'accouchement. A la rencontre allaitement, quand les futures mamans ont parlé de cette douleur et que j’avais Zoé, presque 3 mois sur mes genoux, j'avais d'abord envie de répondre qu'elle n'était pas si grave que ça. Après quelques secondes de réflexion seulement, je me suis rappelée que j'avais quand même eu assez mal... mais voilà, c'était déjà oublié ;-).

mercredi 6 juin 2007

Trucs et astuces

Couches
  • Pour éviter que les tissus ne se décolorent: les faire tremper 24 heures dans de l'eau avec du vinaigre blanc
  • Pour éviter que les tissus ne rétrecissent: les faire tremper 24 heures puis les laver au moins une fois à 60°C.

Culottes de protection

  • Il est plus facile de coudre du PUL coton que polyester parce que polyester est stretch.
  • Quand on fait une culotte de protection à goussets, il vaut mieux coudre avec le gousset sur le dessus. Sinon on passe son temps avec son nez dans sa machine avec les raccords des goussets qui sortent du biais. Grrr.
Patrons
  • Les unités anglo-saxonnes : 1 inch = 2,54 cm. Donc, pour transformer des inches en cm, il faut faire * 2,54.

mardi 5 juin 2007

Mon 1er patron de culotte de protection















J'ai repris mes culottes de protections préférées, dont je tairais la marque (elle commence par Popo ;-) ) et j'ai essayé de recopier le patron. Pas si mal pour une première fois, non? La culotte avec les dauphins est l'originale, l'autre, c'est celle que j'ai faite. J'ai mis des velcros au lieu des pressions parce que je n'ai pas encore ma presse mais que je ne pouvais plus attendre avant de tester mes "talents" de couturière ;-).
Cette culotte-ci n'a pas de goussets, mais elle descend suffisament sur les cuisses pour éviter tout risque de fuites. Je l'adore! On dirait presque un short bouffant.

Ma 2ème culotte de protection

Pour ma deuxième culotte de protection, j’ai utilisé le patron de C*ouche Nature avec une petite touche de O*ttobre.

Les subtilités
  • Les goussets sont plus grands pour cette 2ème couche. C'est plus facile à coudre et probablement plus efficace à l'utilisation.
  • Pour la finition du biais, dans le dos, j'ai suivi le pas à pas de C*ouche Nature. Il faut commencer à coudre à 5 cm du milieu de la couche et s'arrêter quand on arrive à 5 cm du milieu dans l'autre sens. Après on fait une couture droite des 2 morceaux de biais en leur laissant une longueur de 3 cm chacun, on retourne la couture et on finit de coudre le biais sur la couche. Voyez dans les photos comme ça fait une belle finition!
  • Pour éviter les velcros qui accrochent à la lessive, les couches comportent la plupart du temps un double velcro au niveau des ailes. Les culottes de protection n’ont pas ce système. J’avais vu sur O*ttobre qu’ils proposaient un système de poche sur l’aile pour « cacher » le velcro pendant le lavage. J’ai donc décidé d’appliquer ce système aux ailes de ma culotte de protection.
    Je ne l’ai pas encore testé dans la lessive, aussi, je ne sais pas si c’est efficace à ce niveau. Je pense cependant que oui. Il y a juste un petit souci : le velcro dur s’accroche au biais et à terme, ça risque bien de l’abimer.

La photo: avec la petite poche retournée, sur le velcro dur.














Les difficultés
  • Je voulais faire des coins à angle droit, comme sur le patron, mais je ne le ferai plus jamais ! J’ai trouvé qu’il était très difficile de coudre le biais de cette manière. D’abord, c’est du chipotage sur le coin, mais en plus, c’est difficile de bien garder le PUL bien au fond du biais sur les 4-5 cm qui suivent le coin.
  • Je me suis trompée de sens quand j’ai commencé à coudre les biais et je me suis retrouvée avec les goussets en dessous. Horreur ! J’ai vraiment pesté pour les raccords parce que je ne voyais rien.
  • J’ai travaillé avec du PUL 1mil et il était fort élastique. Je ne sais pas si c’est dû à la marque du PUL ou au fait qu’il était « 1 mil », mais j’ai trouvé qu’il était plus difficile à coudre que le 2 mil. La difficulté résidait surtout aux moments où il faut tirer sur le biais : comme le PUL était élastique, il se donnait en même temps que le biais et au moindre relâchement de tension au niveau du biais, le PUL en sortait. Grrr.

Le matériel
  • Un patron (le mien venait du site C*ouche Nature).
  • Un coupon de PUL de 50*50 pour une taille M-L.
  • Du biais élastique: entre 1m50 et 2 m.
  • Du velcro de 5 cm de large : 20 cm de doux et 10 cm de dur (doux pour le ventre, dur pour les « ailes »).

Après un test
La culotte est trop grande pour être testée pour l’instant, mais je mettrai ce post à jour dès que j’aurai pu le faire.

Combien ça coûte ?
  • PUL : j’avais acheté un morceau de 60*150 cm et j’ai pu y faire 4 culottes de protection (grâce aux 60 cm de hauteur, on peut bien agencer les 4 patrons). Coupon = 8,96 € (inclus les frais de port répartis), donc pour cette culotte : 2,24 €.
  • Biais élastique : avec 3 m de biais, j’ai fait 2 culottes de protection. J’ai payé 2,58 € pour biais (FDP compris). Cette culotte-ci a pris plus de biais que la 2ème parce qu’elle a des goussets. Je compte donc 1,5 € de biais.
  • Velcro : 20 cm de doux et 10 cm de dur, à 2,25 € le mètre, ça fait 0,68 €.

Total = 4,42 €


Les photos

En entier:














Les goussets:














La couture dans le dos, comme dans le pas à pas de C*ouche Nature:

Ma 2ème couche

J’avais trouvé ça tellement simple de faire ma première couche, que je me suis lancée tête baissée dans la confection de la deuxième. Du genre « trop facile, je n’ai plus besoin de lire les pas à pas ». Bien sûr. C’était un peu présomptueux de ma part !

Les difficultés :

  • J’avais reçu le Lastin, l’élastique qui supporte bien l’urine. J’ai trouvé que c’était assez difficile de le coudre avec une tension égale des 2 côtés des cuisses. Il y a donc un côté où l’élastique est plus tendu que l’autre. J’avais pourtant bien mesuré 2 morceaux identiques, mais j’ai fait des coutures pour les fixer de longueurs différentes.
  • J’ai oublié de coudre l’élastique du dos avant de refermer la couche. Ben oui, c’était tellement facile ! Enfin, j’ai pu récupérer le bazar en cousant un élastique à culotte sur le côté extérieur de la couche.


Mon matériel :

  • Un patron qui vient du site Sew your own diapers. J’ai du convertir les unités, parce que c’était en inches.
  • Un essuie 100% coton de 50*100 cm, acheté au marché, mais pas le plus bas de gamme. Il est assez épais. C’est assez pour faire les 2 patrons de couche et un patron de trempeur, mais pas plus.
  • Un morceau de 15*35 cm d’un autre essuie pour un 2ème patron de trempeur.
  • De l’élastique. Ici j’ai utilisé du Lastin 6mm pour les cuisses et de l’élastique à culotte 8mm pour le dos (mais le dos, c’est par erreur…).
  • Du velcro 5 cm de large : 28 cm de doux et 8 cm de dur. Le doux : 20 cm pour le devant et 2*4 cm pour pouvoir refermer les « ailes » avant de laver la couche, pour éviter que le dur n’accroche au reste du linge lors de la lessive.


Après un test :

Je l’ai essayée une nuit, avec un insert supplémentaire en chanvre et la couche n’était même pas mouillée jusqu’en haut (le haut était même carrément sec !). Elle est cependant encore un peu grande, alors je suppose qu’elle sera une bonne couche de jour 2ème taille (9kg-propreté).

Combien ça coûte :

  • L’éponge de coton : 2,5 € pour l’essuie au marché. L’autre morceau venait d’un vieil essuie, donc 0€.
  • L’élastique : 2,20 € pour 5 m et j’en ai utilisé 30 cm, ce qui fait 0,13 €.
  • Le velcro : 2,25 € du mètre. J’en utilise 28+8 cm, mais j’en ai acheté 30+10 cm, alors je compte aussi les pertes, ce qui fait 2,25 €*40 cm = 0,9 €.
Total = 3,53 €

Les photos :
Mais qu’elle est belle !


































L’élastique à l’extérieur :-(














Les velcros qui se referment pour la lessive