La robe qui jouait à la boule de Noël

Peut-être bien que c'est ma préférée... en tout cas, je l'adore!

Une robe en velours milleraies rouge flash. Pile 1m80 de tissu (c'est ce qu'il restait sur le rouleau, en voilà une histoire qui commence bien ;-) ). Doublée alors que ça n'était pas prévu. Je vous explique: dans le Burda, ils disent que ce n'est pas nécessaire de doubler si on fait la robe dans un tissu comme une flanelle. Je me suis dit "Flanelle = coton, velours = coton, c'est kif kif". Ben non. Velours milleraies = super collant sur les vêtements. Avec un t-shirt en dessous, je ne pouvais plus bouger, voire plus respirer! Heureusement, je n'avais pas encore cousu la fermeture éclair. J'avais eu un doute au niveau de la taille avec tous ces plis, elle me semblait bien trop petite. La taille ça allait. Bref, j'ai décousu les côtés, coupé une doublure, assemblé et recousu le tout.

Pour que les raccords soient jolis au niveau des épaules, j'ai utilisé la méthode qui consiste à coudre l'encolure, coudre les emmanchures, et puis faire passer les pans arrières par les épaules comme chez Tante Hilde (chez elle, ce sont les pans avants, mais vous voyez ce que je veux dire).



Modèle 119 du Burda 10/2009:

Avec des raccords pas si pires au niveau de la fermeture éclair:

Et avec des raccords parfaits sur les côtés (youpiiiiiie! ça commence à "viendre"!):

La doublure. Elle a l'air tout de travers dans le bas, mais, j'vous jure, c'est la photo qui fait ça. Pis toute façon on s'en fout, c'est une doublure ;-):

Portée... et maintenant vous voyez l'allusion à la boule de Noël :-). Rouge avec son noeud... oui oui, pas moi la boule, non non ;-). Heureusement, comme je vais m'acheter une ceinture noir pendant les soldes (vous sentez mon énorme motivation), je pourrai aussi la porter en dehors des fêtes.

 

Photographe: miss presque-6-ans

Mon seul regret, un coup d'épingle pas assez piquante en plein mileu du corsage, avec pour conséquence un trou... Argh... Je ne vois pas comment le cacher, alors je le laisse. Jusqu'à présent une seule personne m'en a fait la remarque. J'ose croire qu'il n'y a que moi que ça gêne ;-).