Les vestes de printemps

Une commande, un dessin, un choix de tissu, les cousettes se répètent et se ressemblent.
Deux vestes, même pas tout à fait finies, même si elles ont déjà été portées. Que voulez-vous, quand il fait chaud, j'ai du mal à mettre des pressions sur des vestes qui ne seront pas mises tout de suite.

 

Deux filles de plus ou moins la même taille, ça fait un seul patron, c'est parfait! C'est le nr. 18 du Ottobre 6/2009 avec modification des manches, tirette en travers, diminution du trapèze pour la veste grise et allongement.

Les must: le trou pour le pouce et la poche spéciale abonnement de tram, juste à la bonne hauteur pour que les miss ne doivent même pas en retirer leur abonnement pour "beeper"... c'est très élégant, la danse du "beep", je vous assure :-)

Tissus: pour la 1ère fois, chez Tissus.net pour la veste bleue. Il n'y avait plus assez de softshell bleu, du coup on a pris le kaki avec les étoiles, avec un joli effet pour le fluo. Rien à redire sur la commande, même si je préfère les "vrais" magasins.

La veste grise est cousue dans un scuba de chez Berger.

Tirettes de la mercerie (Caverne d'Alibaba) du Boulevard Anspach.

Portées, ça donne à peu près ça... je crois que c'est lié à l'âge... quand je demande pour pouvoir faire une photo, j'ai droit à un spectacle de pantins!

Moustache Christmas PJ's - 2

Sur le même modèle que les Hiboux, en un peu simplifié, voici les pyjamas moustache.

Patrons Ottobre, sans les bracelets de manches et de chevilles. Simplifiés, je vous disais!
Tissus du Stoffenspektakel pour les pyjamas et restes de mes tiroirs pour les cols et les moustaches.

Verdict des filles: je peux continuer. Même pour la demoiselle pré-ado. Elles sont d'ailleurs bien curieuses de savoir à quels motifs elles auront droit l'année prochaine!

Chic un mariage

Bonne et heureuse année 2017 à tous :-).
Voici une robe de fête de 2016, d'une autre fête, bien entendu. Une fête de début juillet, une fête qui méritait une robe spéciale. Une fête de mariage.

La soie est une matière qui m’intrigue. A la fois chaude et fraiche, la façon dont elle se froisse, le bruit qu'elle fait en se froissant,… ça faisait un moment que j’avais envie de me lancer, mais voilà, le prix du tissu, est-ce que j'allais vraiment porter ce que j'allais coudre, et puis, qu'allais-je coudre?

Voilà chose faite. Je suis bien contente d'avoir réalisé cette robe, mais l’aventure ne fut pas particulièrement agréable. Coudre de la soie, c’est un peu comme coudre du nylon : ça se fronce facilement et ça glisse. J’ai cousu avec une aiguille extra-fine (60), pour éviter que le fil ne fasse froncer le tissu. Du coup, le fil a chauffé et s’est effiloché plusieurs fois et j’ai quand même froncé le tissu à plusieurs endroits. Rien de bien grave, mais coudre en mode « précaution maximale », c’est un peu trop stressant.

Cela dit, le résultat en vaut la peine. Un modèle assez agréable à porter, intemporel. Je suis donc déjà rassurée sur un point: elle ne restera pas vainement au fond de ma garde-robe!


Le patron vient du Burda 08/2012 (modèle 120). C'est une robe un peu fourreau, à découpes. Je l'ai doublée coton. Les tissus viennent du Chien Vert.
Modification : ajout de manches, ajout d'un ruban à la taille et déplacement des plis de cols vers l'extérieur d'un centimètre (merci la toile!).

Je l’ai déjà mise pour deux mariages : un d’été et un d’hiver. Vu la doublure en coton, elle se porte mieux sans collants, sans que ça soit une catastrophe pour autant. Et elle est jolie avec une petite veste noire.

J’avais fait la toile dans un coton mauve, dans un esprit de non-gaspi. Et deux robes pour le prix d’une, c’est plutôt cool ;-).